Restaurant Campestre et Vente de Candian
À moins que je me trompe, il a travaillé uniquement le samedi et le dimanche et les jours fériés, ou si travaillé sur d' autres jours, je ne peux pas dire, comme un enfant. Je sais juste qu'il était un mouvement intense de véhicules et de gens là - bas. Belles personnes qui vont et viennent. Belles grosses voitures de toutes les marques. Et comme s'y attendre, les chansons jouées en temps utile d'entendre étaient en mémoire. Comme je l' ai dit Sale, jamais vu un comme ça, de Bebeto et Neném Candian. Je trouve tout cela. De A à Z, au kérosène pour les personnes qui n'ont pas été couverts par la lumière électrique. Cette odeur délicieuse du matin, le pain qui est, ne se sentait pas dans toute boulangerie. Les balles de toutes les marques et les saveurs, la gomme d'anneau, le marbre de toutes les couleurs ... me manque. Comment oublier la première fois que je suis allé je même acheter le papier de soie pour faire cerf-volant? En vacances, pour lire le journal tous les jours plus tôt que Bebeto a pris Barbacena, habituellement de Rio de Janeiro, où l'on pouvait savoir ce qui se passait avec notre clubs coeur (mon Flamengo). ce désir. Comment oublier la première fois que je suis allé je même acheter le papier de soie pour faire cerf-volant? En vacances, pour lire le journal tous les jours plus tôt que Bebeto a pris Barbacena, habituellement de Rio de Janeiro, où l'on pouvait savoir ce qui se passait avec notre clubs coeur (mon Flamengo). ce désir. Comment oublier la première fois que je suis allé je même acheter le papier de soie pour faire cerf-volant? En vacances, pour lire le journal tous les jours plus tôt que Bebeto a pris Barbacena, habituellement de Rio de Janeiro, où l'on pouvait savoir ce qui se passait avec notre clubs coeur (mon Flamengo).
Posté sur Facebook, commentant l'affichage d'une famille de la jeune fille, Bianca, que la nostalgie et les souvenirs de tant de fois. Il a dit qu'il n'a jamais oublié la gentillesse de Tadeu, qui n'a pas été différent des autres, lorsque le congélateur gâté et il a demandé que le mulecada ont conseillé de demander popsicle gratuitement. Imaginez. Popsicle était quelque chose de rare dans notre enfance et coûteux. Nous avons gagné plus de cinq ... malgré la foule, jamais gâté le congélateur, mais il était, je parie que beaucoup ont pas oublié. En vérité, je suis la deuxième diffusion, Thaddeus demanda José dos Reis, Pelé, qui est mort aujourd'hui. Il ne pouvait pas parler à personne, mais il a parlé. Il n'y avait aucune animosité entre tous les enfants et les adolescents là-bas dans la localité. Et tous ont été mis en garde.
Une autre chose frappante a été la fin de l'année, quand le Père Noël n'a pas été généreux pour nous dans la première semaine après Noël, nos balles et autres jouets avait déjà gâté et qui n'a posé aucun problème. Le Willian, marchons à sa moto et a pris sa balle en cuir sur le terrain de football. Nous descendîmes à vélo en Brejão la colline descente (route qui mène à la maison de M. Fioro. Et beaucoup a ... jamais vu l'un des plus de trente garçons quittant malheureux d'être mal traité par son ami.
Ce fut la réunion, des amis de tous âges. Bon temps. À la fin, en mettant le bus était là. Difficile d'obtenir ou sans premier bus à un arrêt dans la vente. Pour boire quoi que ce soit. Juste pour parler. Il y avait, maintenant Bebeto, maintenant bébé, maintenant Tadeu, maintenant Nandinho, soit quatre ou deux, selon la demande. Comment triste perte de temps. Certaines situations et les gens nous voulions être éternel.
Peut-être que si , à ce moment - là il y avait déjà tellement possibilité d'enregistrer tant de bons moments ne serait pas parler si agréable. Les images sont nettes dans la mémoire et tout semble comme il était hier. Le Seigneur Candian, Dona Rosa, Bebeto, Sandro et Nandinho sûrement viennent à eux, l'effet de mes prières que je fais aujourd'hui et toujours. Peut-être un jour nous nous rencontrerons pour être en mesure de dire dans une autre dimension, un spécial merci, je ne pouvais pas le dire.
Par Bebeto ma reconnaissance ne pouvait manquer d'être spécial. Et Dieu merci , j'eu l'occasion de lui parler à plusieurs reprises et il était très heureux. Mes parents ont également parlé d'elle, je demande à Dieu de couvrir toutes vos bénédictions générations à venir. En 1975, mon père travaille en étroite collaboration avec chacun de Dona croire (n'a jamais connu son vrai nom), en prenant des notes sur le nombre de véhicules écoulés, en moyenne, cette route Campolide à Barbacena. Autour de 23h00, une nuit où ceux de notre région était encore froid d'Avril à Juillet, la dernière voiture que mon père était un Vemaguet noté.
Il ne savait pas qu'il y aurait quelques heures à vivre leurs moments les plus tristes. Mon frère avait 12 ans, twin moi. Les plus âgés se souviennent de lui. Il était fort, gai, ludique. Il était plus petit que moi à l'époque, mais plus lourd. Mon père est entré dans la voiture et d' arriver à Clover Hill Mario, la voiture a explosé. Et a commencé la saga de ma famille, que le temps avec un autre membre, Humberto Candian. Non seulement il était le propriétaire du conducteur et du véhicule disponible pour prendre un voisin. Il était l'ami, le frère, le voisin, le Bon Samaritain.
Quand mon père ne pouvait pas prendre plus porter mon frère sur ses genoux qu'il a fait. Ce fut la Bonne Mort à Ibiapaba après la Sainte Maison après la maternité. Ils ont trouvé des médecins. Autour de 05, 00 heures ont trouvé un médecin dont le nom je ne savais pas . Il a frappé le genou Valquir et a dit " etc. etc. Après plus en arrière, il était la piscine, où je passais des heures à regarder les gens jouent. D'autres informations sur la gauche, une salle de bains que même aujourd'hui ne sais pas qui reste propre et il était. Au fond, je me suis fatigué de voir le Jeu Sr Candian Jouer dans une pièce, semble faite pour lui. Je ne ai jamais appris à jouer. De retour à l'avant, vers la gauche a été le plus haut comptoir avec des boissons ... là, je pris mon premier soda, payé par un oncle de Barroso dimanche. Il a été emballé pour la vente, comme toujours. Après sur le comptoir se tenait le poêle avec le sel. Ali se trouva les pilons de poulet que les cuisiniers a fait, je pense avec la supervision de Dona Rosa ou Ali, qui n'a jamais trouvé. Et je suis entré un peu, de sorte que le trajet lorsque le service. Dans la serre, il y avait aussi d'autres salée (entrée) dont le bouillon juteux, la plupart des vendeurs de patience amis sans payer plus pour cela, arrosé le pain que le bouillon quand nous avons demandé "me vendre un pain moiado?" Je ne comprends toujours pas pourquoi tant de bonté. Un peu plus loin, déjà en face de la troisième porte au milieu, le compteur inférieur contenait le pain, des beignets, des bonbons, Tareco que je ne ai jamais vu, mais pas oublié. Au-dessus du comptoir, dans ce tableau de direction, il a été le grand rocher rouge, et son côté qui a rempli nos yeux comme des enfants: l'Baleiro !!!!!!!
Après Baleiro, un mètre et un demi ou comptoir, où nous lisons le journal et la fin de lui, la partie où ils ont été publiés rouleaux de papier pour l' emballage. Ci - dessous, comment ne pourrait jamais oublier, étaient les papiers tissus de différentes couleurs ... une petite petite porte où les propriétaires ont passé. Presque au large de la dernière porte, au fond, le tambour était, pense de 200 litres, avec du kérosène, et presque en face de lui, un tabouret en bois, qui ne laisse pas la mémoire, le Sr, figure inoubliable Candian. Là, il a sa manière italienne presque aliciava dans une bonne façon, les garçons de se réjouir pour Vasco da Gama et Cruzeiro. Là aussi il a mis le surnom presque tous les gens de cette époque, pour une fonction, de la parole, ou de la situation. Chico Bibia, mon jeune frère, Old Soldier Valerius, mon frère cadet, Tatu,
le Darinho, Tomba Wolf, Catitu, Bumblebee, sac, etc ... pas mon surnommé parce que je grandi avec le surnom donné par son frère qui est mort dans le berceau ... Réaffirmant, je souhaite que les gens à qui nous avons eu importance, jour pourrait nous dire ... mais sûrement, la plus grande joie est d' être capable d'écrire cela. Dire que dans le livre de ma vie, plusieurs pages contient certaines de ces personnes et des faits!
Par Bebeto ma reconnaissance ne pouvait manquer d'être spécial. Et Dieu merci , j'eu l'occasion de lui parler à plusieurs reprises et il était très heureux. Mes parents ont également parlé d'elle, je demande à Dieu de couvrir toutes vos bénédictions générations à venir. En 1975, mon père travaille en étroite collaboration avec chacun de Dona croire (n'a jamais connu son vrai nom), en prenant des notes sur le nombre de véhicules écoulés, en moyenne, cette route Campolide à Barbacena. Autour de 23h00, une nuit où ceux de notre région était encore froid d'Avril à Juillet, la dernière voiture que mon père était un Vemaguet noté.
Il ne savait pas qu'il y aurait quelques heures à vivre leurs moments les plus tristes. Mon frère avait 12 ans, twin moi. Les plus âgés se souviennent de lui. Il était fort, gai, ludique. Il était plus petit que moi à l'époque, mais plus lourd. Mon père est entré dans la voiture et d' arriver à Clover Hill Mario, la voiture a explosé. Et a commencé la saga de ma famille, que le temps avec un autre membre, Humberto Candian. Non seulement il était le propriétaire du conducteur et du véhicule disponible pour prendre un voisin. Il était l'ami, le frère, le voisin, le Bon Samaritain.
Quand mon père ne pouvait pas prendre plus porter mon frère sur ses genoux qu'il a fait. Ce fut la Bonne Mort à Ibiapaba après la Sainte Maison après la maternité. Ils ont trouvé des médecins. Autour de 05, 00 heures ont trouvé un médecin dont le nom je ne savais pas . Il a frappé le genou Valquir et a dit " etc. etc. Après plus en arrière, il était la piscine, où je passais des heures à regarder les gens jouent. D'autres informations sur la gauche, une salle de bains que même aujourd'hui ne sais pas qui reste propre et il était. Au fond, je me suis fatigué de voir le Jeu Sr Candian Jouer dans une pièce, semble faite pour lui. Je ne ai jamais appris à jouer. De retour à l'avant, vers la gauche a été le plus haut comptoir avec des boissons ... là, je pris mon premier soda, payé par un oncle de Barroso dimanche. Il a été emballé pour la vente, comme toujours. Après sur le comptoir se tenait le poêle avec le sel. Ali se trouva les pilons de poulet que les cuisiniers a fait, je pense avec la supervision de Dona Rosa ou Ali, qui n'a jamais trouvé. Et je suis entré un peu, de sorte que le trajet lorsque le service. Dans la serre, il y avait aussi d'autres salée (entrée) dont le bouillon juteux, la plupart des vendeurs de patience amis sans payer plus pour cela, arrosé le pain que le bouillon quand nous avons demandé "me vendre un pain moiado?" Je ne comprends toujours pas pourquoi tant de bonté. Un peu plus loin, déjà en face de la troisième porte au milieu, le compteur inférieur contenait le pain, des beignets, des bonbons, Tareco que je ne ai jamais vu, mais pas oublié. Au-dessus du comptoir, dans ce tableau de direction, il a été le grand rocher rouge, et son côté qui a rempli nos yeux comme des enfants: l'Baleiro !!!!!!!
le Darinho, Tomba Wolf, Catitu, Bumblebee, sac, etc ... pas mon surnommé parce que je grandi avec le surnom donné par son frère qui est mort dans le berceau ... Réaffirmant, je souhaite que les gens à qui nous avons eu importance, jour pourrait nous dire ... mais sûrement, la plus grande joie est d' être capable d'écrire cela. Dire que dans le livre de ma vie, plusieurs pages contient certaines de ces personnes et des faits!
Je joins la musique que vous avez joué dans Restaurantate. Beautiful! Cité par Bianca, nous avons vu naître et grandir ...
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